Permettez-moi de vous présenter ma chronique « Les nerfs en sphère » ! Au cours de la session, je vous propose d’explorer divers sujets environnementaux sous un angle, disons, peu conventionnel. Au fait, vous aurez le droit à du mordant durable propre à l’attitude journalistique du Polyscope alors que je développe une opinion, en votre future compagnie, sur certains phénomènes inspirants et sur d’autres qui tapent tout simplement cés nerfs !
D’où provient le nom de la chronique ?
« Les nerfs en sphère » tente à la fois de saisir le caractère provocateur ainsi que le regard constructif qui jailliront de mes prises de position sur des sujets touchant à différentes sphères de la société. Bien entendu, je ne compte pas trop m’éloigner de l’environnement, mais sachez que d’autres facettes rentrent souvent en jeu. Par conséquent, je risque d’aborder des sujets tels que l’économie, la bienveillance universelle et mon préféré, soit la présence trop fréquente d’une cruche entre certaines paires d’oreilles. Enfin, concrètement, le nom de ma chronique provient d’une permutation poésique de l’expression « avoir les nerfs en boule » et, en complément, me permettra de plugger dans les lois de l’art des locutions ma foi originales comme « les nerfs en bicycle ».
PolySphère (le comité écolo étudiant) moralisera-t-il le lectorat ?
Bonne question, Polyscope ! Au fait, sachez, chers lecteurs, que je suis un dual en fragile équilibre entre ces deux comités. N’ayez craintes, par contre, puisque PolySphère, pour moi, est une porte d’éveil vers l’environnement pour les intéressés. Je veux partager cette valeur et non vous l’infliger. D’autre part, puisque je m’engage à ne pas vous moraliser, la balance du compromis est que vous assumez de voir le logo de PolySphère tout comme les glorieuses pages entre vos mains sont ferrées de celui du Polyscope. Placer ce logo sera d’ailleurs un outil intéressant pour remplir la demie page que je réserverai la semaine prochaine auprès du rédacteur en chef alors que je ne pourrai plus mettre un encadré pour expliquer ma chronique !
La balle est dans votre camp.
J’espère que vous me lirez et que je pourrai faire de même avec vous pour tous commentaires, discussions ou insultes.
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